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Jebe-Tsenkher

15 Décembre 2013 , Rédigé par Maître Zit Publié dans #Jebe-Tsenkher

Jebe-Tsenkher

Ce post est dédié à Jebe-Tsenkher. Les autres joueurs passent leur chemin.

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M
Le sol est assez accidenté mais le haut du rocher est globalement plat. Vous parvenez rapidement au bord du canyon en Y. Le haut n'est pas aussi abripte, aussi est-il difficile sans risque de voir au pied. cependant, en faisant le tour, on peut finalement avoir une vue complète du fond e trouvant à chaque fois une possition d'observation.<br /> <br /> Vous comptez 9 chevaux dans la branche nord (vers le bas sur le plan) du Y. Un homme armé les garde, placé proche de la jonction des branches et regadant vers le pied du Y.<br /> Le long du "pied", 4 hommes semblent attendre, dont deux armés d'arcs un peu en retrait, tous contre la paroi. Ils regardent vers le fond du pied.<br /> Aucun des hommes armés ne possède de grosse armure.<br /> <br /> Le fond de la branche nord, là où sont les chevaux, semble escaladable.
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M
[Scémario Vers Kumul]<br /> Le psote d'observation ets effectivement bien placé. Tu ne vois cependant pas de poussière: ou bien la troupe fait une pause, ou bien ils sont passés sur un terrain plus rocheux. Si c'est bien le cas, Lune te confirme que vous devriez avoir le temps de repartir: la troupe n'est pas si rapide et elle est encore loin. Si c'est un clan, il n'y a pas que des chevaux, mais certainement des chameaux et peut-être dees troupeaux ou des yourtes. Mais attention, il y aura aussi probablement des éclaireurs montés.<br /> &quot;Kökök, [Lune, turcophone, utilise plutôt ce nom qu'elle a entendu dans la bouche d'Ayu-Kulak] puis-je te poser une question ?&quot; dis Lune. &quot;Tu n'es pas Türk ni même Ouigour, ni même Tabgach: tu parles avec un accent presque Avar, et pourtant les autres ont l'air de te considèrer comme un des leurs. Qui es-tu, finalement ?&quot;
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L
Tu as raison. Je ne sais pas si cette troupe est amie ou ennemie, et je n'irai pas vérifier. Notre tribu est complètement en désordre, Tengri a détourné son regard. Nul ne sait plus quel clan est avec quel autre. Certains se fédèrent, on les appelle les Ouigours et je crains que cette troupe n'en soit. Que Julga-Khan n'en fasse pas l'instrument de notre perte. Ni de la vôtre -rajoute-t-elle en souriant.
J
Ahahaha ! Voyons Lune, nous sommes tous des nomades, la confiance et les serments sont sacrés bien sur... cependant l'histoire de la Steppe est pleine de trahison et de parjures.<br /> Je fais partie de la suite d'Ayu Kulak depuis un certain temps et j'ai vu son courage et sa volonté et je ne te cacherai pas qu'il a certains défauts mais qui suis je pour le juger ? Que ferais je à sa place ? Et toi ?<br /> Je te dirais ceci : n'oublies jamais comment et pourquoi tu es ici avec nous à présent et tu resteras toujours vigilante. C'est un conseil...<br /> Maintenant assez parlé, nous reprendrons cette conversation plus tard si tu le désires mais concentrons nous sur notre garde. Je n'aimerais pas être surpris par cette troupe qui s'avance ainsi.
L
Lune reste pensive. &quot;Dis-moi, Jebe Tsenkher, que penses-tu d'Ayu-Kulak et des autres Türks qui sont avec toi ? Sont-ils dignes de confiance ?&quot;
J
Je regarde longuement Lune en souriant puis après un moment je lui dit &quot;un homme libre qui ne l'était pas autrefois... les souvenirs de mon enfance sont encore tenaces et mon peuple est celui de la steppe. Ne le connais tu pas ? Dans notre langue mon nom se dit Jebe Tsenkher, la flèche bleue.&quot;
M
[scénario la croisée des chemins]<br /> Awazi te dit en Chinois:<br /> &quot;Votre sorcier, il est pas très... enfin, il n'a pas beaucoup aidé. Mes chameaux tiendront, mais vos chevaux sont de trop. Les esclaves aussi, mais le Bouddha nous enseigne la compassion et je préfère laisser vos chevaux que mes esclaves. Je veux bien partager le peu d'eau et de kumiss avec les hommes, s'il y en a assez, mais pas avec vos chevaux. Quant aux esclaves, je vais peut-être devoir en abandonner en route, que le Bouddha les prennent en pitié.&quot;
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M
Maintenant, les sédentaires ne savent pas survivre comme vous en buvant le sang de leus chevaux. Mais il est vrai que ceux-ci risquent fort de mourir, et un Nomade sans son cheval...<br /> Par ailleurs, il te semble bien que quand tu étais esclave, on parlait des &quot;Tiele&quot; comme la tribu frontalière contrôlant Turfan et les environs, jusqu'au Gobi. Or tu sais que les Tiele sont les Tölächs.
J
Bon sinon on a chassé la marmotte et on revient ou il se passe qqchose : genre on remarque des intrus arrivant...
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J
Pendant la geste du conteur mes yeux s'illuminent : batailles, chevauchées, arcs, flèches ! Je sens presque le vent des steppes siffler à mes oreilles... et la nostalgie me prend, puis une colère sourde rougit mes joues et je serre les poings : ces damnés Wei, vivement que j'en tienne un au bout de mon sabre !
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M
Tout le monde étant occupé à écouter Bonne-Fortune, personne ne remarque tes poings serrés. Sauf peut-être Bonne-Fortune, toujours observant les réactions de son auditoire.
J
Nous sommes à la recherche de l'honorable Bonne-Fortune afin d'implorer son aide, dis je en essayant de maîtriser mes claquement de dents et mes frissons.
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B
Bonne Fortune se met à chantonner<br /> &quot;Bonne rivière, mon aimée<br /> Pas de mal, pas de danger,<br /> Laisse donc les étrangers<br /> Par Tengri, ils sont sacrés&quot;
J
Non, non vénérable, nous ne vous voulons aucun mal. Nous sommes là au contraire pour solliciter vos talents et votre grande connaissance. Notre Shaman vous décrira mieux que moi sa vision si vous me suivez. Je les entends m'appeler d'ailleurs.
B
&quot;Ah ? Euh, vous ne venez pas m'enlever, alors ? Mais comment donc puis-je vous aider ? Je ne connais que des légendes et l'Histoire de notre tribu.&quot;<br /> <br /> Tu entends alors tes amis appeler dehors [voir le post commun]
J
Nous sommes à la recherche du Thug de notre clan que les Wei (j'évite de cracher par terre mais l'envie est très grande) nous ont pris par le passé. Notre Shaman a eu une vision de l'endroit où il était caché mais cela ne nous dit rien du tout. Nous avons alors pensé qu'un érudit comme toi, ô Bonne Fortune, pourrait sûrement nous aider.
B
La silhouette reste quelques instants silencieuse. Puis elle dit :<br /> &quot;Et en quoi puis-je vous aider, étrangers ?&quot;<br /> Ta vue s'habitue au manque de lumière. En face de toi, au fond de l'anfractuosité, un homme est assis, enveloppé dans une couverture de feutre. Il porte le bonnet traditionnel et les cheveux longs à la türk. Derrière lui, la paroi qui termine l'anfractuosité n'est pas lisse, mais est constituée de pierres de tailles diverses empilées du sol au plafond.
M
[euh, non, c'est moi qui voulait dire Bonne Fortune. Me suis encore trompé. Bonne Fortune, Bonne Fortune]
J
Euh je voulais dire Bonne-Nouvelle bien sur :)
M
[scénarion Bonne Nouvelle]<br /> L'entrée est étroite, tu dois t'y glisser en rampant. Il fait sombre, ta vue doit d'abord s'adapter. L'intérieur est un peu plus haut, le sol est en pente mais le &quot;plafond&quot; est droit. Tu peut t'asseoir. Tu est trempé, l'eau est glacée, tu trembles comme une feuille et tes dants claquent. Tu remarques à 2 mètres de là une silhouette assise. La silhouette parle &quot;Que me veux-tu?&quot;
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